Le Puy Foot avait le choix de jouer en Bretagne ou de louer le Chaudron. Ce dernier se loue 250 000 euros normalement mais les Ponots avaient eu un "prix d'amis" à 150 000 euros. Maintenant, l'objectif est de rentrer dans les frais.
"C'est le choix du coeur"
Après cinq jours de négociations avec Saint-Étienne Métropole (propriétaire du stade) et l'ASSE (qui profite d'un bail d'exclusivité pendant 12 ans), les dirigeants ponots sont parvenus à leurs fins.
Leur prévisionnel est basé sur la vente de 15 à 17 000 places pour cette rencontre de quart de finale de la Coupe de France. Et le président du Puy-Foot, Christophé Gauthier savoure la fin des négociations : "C'est le choix que l'on avait fait au départ. On espère maintenant une belle fusion entre Altiligériens et Ligériens pour cette rencontre. Car même si les Stéphanois ne nous doivent rien, les habitants de Haute-Loire ont toujours supporters l'ASSE, ce serait donc beau de voir les Ligériens nous supporter", espère Chritophe Gauthier.
Le Puy (N2)/Stade Rennais (Ligue 1), le jeudi 29 février à 20h45.
ZF