En tenant compte des initiatives, actions, études et travaux portés par l’ensemble des
partenaires, ce sont d’ores et déjà près de 510 millions d’euros qui seront dédiés à terme à l’amélioration de la mobilité entre les deux métropoles. "Cette enveloppe financière a
vocation à être complétée à terme par les contributions des différents partenaires de la
démarche", précise la préfecture de Région ce 6 juin.
A l’issue du comité stratégique restreint relatif à l’amélioration des mobilités entre Lyon et
Saint-Étienne présidé par la préfète de région, Fabienne Buccio, ont notamment été
annoncés :
- l’augmentation dès 2026 du nombre de places dans plusieurs trains entre les deux
métropoles, avec l’allongement, notamment en heures de pointe, puis en 2029 sur
l’ensemble des trains - la définition au 1er trimestre 2024 d’un programme ferroviaire complémentaire à l’issue
des études en cours - la mise en place d’un fonds spécifique dans le cadre de cette démarche de 5 M€ de
l’État pour le vélo, visant notamment à l’amélioration et à la sécurisation du
rabattement sur les gares - la mise en place d’un fonds spécifique dans la cadre de cette démarche de 6M€ de
l’État dédié au développement du covoiturage dans le corridor et en particulier à la
mise en place de lignes fortes de covoiturage entre Lyon Givors et Vienne et le
développement des applications numériques - la réalisation de la voie réservée, notamment au covoiturage et aux transports en
commun, sur l’itinéraire A7 entre Ternay et le boulevard urbain sud d’ici fin 2023 - la réalisation d’aménagements de modernisation de l’itinéraire A47, A72 et RN88 d’ici fin 2026 et notamment les échangeurs de la Grand-Croix d’ici 2024 et du Sardon d’ici 2025, avec de premiers travaux en 2023, et la voie d’entrecroisement entre Saint-Chamond et la Grand-Croix en 2026
- l’amélioration des déplacements dans le secteur de la Gouyonnière portés par le conseil départemental de la Loire avec le soutien financier de l’État
ZF