Dans un communiqué, la direction du groupe, détenu par la Fondation Zepplin à Friedrichshafen (sud de l'Allemagne), justifie cette mise en vente de son site ligérien : "les transmissions pour véhicules utilitaires thermiques ont atteint la fin de leur cycle de vie, notamment en raison de la transformation de l'industrie vers l'électrique". De leur côté, les représentants des salariés soulignent que "le groupe n'a pas tenu ses engagements de développer de nouveaux équipements automobiles compatibles avec les objectifs affichés de transition écologique".
Les grévistes réclament une prime de compensation financière de 10 000 euros par salarié à ZF avant la vente du site.
ZF