Interpellé lundi puis relâché mardi à l'issue de sa garde à vue, ce professionnel de santé de 52 ans devra répondre principalement des délits d'"aide au mésusage ou à l'abus de médicaments" et de "délivrance irrégulière de médicaments", a déclaré à l'AFP le parquet de Saint-Etienne, qui a confié l'enquête à l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp).
Parmi des substances qu'il aurait délivrées via de fausses ordonnances, en usurpant l'identité de plusieurs médecins, figurent des psychotropes et des opioïdes.
Son procès doit se tenir le 5 septembre prochain.