À l’école Sainte-Lucie, les élèves ont été des escrimeurs le temps d’une matinée. “J’ai bien aimé ce sport. C’est une culture différente”, se réjouit Gabriel, un élève.
L’escrime est une pratique qui demande du respect et de la maîtrise de soi. Benjamin Sega, maître d’armes, demande aux enfants de “toucher l’adversaire avec la pointe du fleuret et uniquement le buste”, partie du corps qui est une surface valable en escrime. Dans la Loire, on compte 300 licenciés et 65 000 en France.
Un regard avisé
Les duels se multiplient sous le regard attentif de Daniel Cheynet, président de l’entreprise Blaise Frères, qui fabrique 120 000 lames d’escrime par an et travaille avec 90 % des tireurs à l’échelle mondiale. “Notre produit est 100 % français. La qualité repose sur les hommes et non sur les machines”, précise Daniel Cheynet.
Durant la semaine, les élèves ont travaillé sur les Jeux Olympiques grâce à une exposition retraçant l’événement. Ce vendredi, les élèves vont également pratiquer d’autres sports comme l’athlétisme, le basket ou encore la gymnastique.
Tristan.L