Créée par la Direction de la communication et du marketing territorial de Saint-Étienne Métropole, cette campagne met sur le devant la scène 7 anciens diplômés d’établissements d’enseignement supérieur qui sont aujourd’hui entrés dans la vie active. Ils sont nés sur le territoire ou l’ont choisi pour leurs études, ils sont fiers de leur Ville et de leur Métropole.
Une campagne print et web
Les témoignages sont déclinés en vidéo, en contenu web, en affichage, en annonces presse. Ils sont diffusés essentiellement sur des canaux digitaux (YouTube, Instagram, TikTok, Snapchat, Twitter), en affichage à Paris, Lyon, Marseille et Lille ainsi que dans une sélection de villes de la région AuRA et du sillon rhodanien.
7 portraits d'anciens étudiant(e)s stéphanois(es)
Clara Spetebroodt, lyonnaise d’origine, est venue à Saint-Étienne pour étudier à l’Institut d’optique graduate school. Une fois diplômée, elle a créé sur le territoire, Plas’tri, une start-up promise à un grand avenir. Anaïs Sardat a suivi tout le cursus nucléaire à l’IRUP (Institut régional universitaire polytechnique), elle qui est originaire de la Métropole stéphanoise, Cellieu plus précisément. Elle est aujourd’hui responsable de site sur deux centrales nucléaires dans l’Ain et en Normandie, spécialisée dans le secteur de la ventilation. Ingénieurs, diplômés de l’Énise (École nationale d’ingénieurs de Saint-Étienne), Eddy Bernou et Thibault Agius ont créé leur propre entreprise à Saint-Étienne Métropole, Axive Additive, qui réinvente la fabrication de pièces métalliques grâce à l’impression additive, une technologie de l’Industrie du Futur propre au territoire. Originaire de Rouen, Grégory Granados est venu achever son cursus de formation par un master à l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne. Lauréat de plusieurs prix nationaux, dont le grand-prix de la création de la Ville de Paris, il enseigne aujourd’hui à l’école et est un designer indépendant courtisé par de grands groupes. Enfin, Philippe Gain et Gilles Thuret se sont rencontrés sur les bancs de la faculté de médecine de Saint-Étienne, alors que l’un était professeur et l’autre élève. Tous deux professeurs et chirurgiens ophtalmologistes, ils ont contribué à la création de l’entreprise Keranova, qui met au point une solution robotisée qui va révolutionner la chirurgie de l’œil.