Ce préavis s’inscrit dans la continuité des mouvements précédents, couvrant les périodes du 7 au 21 avril et du 10 au 21 avril. À travers cette prolongation, la CGT entend maintenir la pression sur l’exécutif métropolitain, qu’elle accuse d’inaction face à une situation qualifiée d’« urgente sur les plans sanitaire, social et organisationnel ».
Malgré les alertes successives, les représentants syndicaux rapportent une absence de réponses concrètes de la part de la présidence de la Métropole selon eux. "Nous réaffirmons notre disponibilité immédiate pour toute négociation sérieuse permettant d’aboutir à des avancées concrètes. Les agents n’aspirent qu’à reprendre leur mission dans la dignité et la reconnaissance de leur engagement", précise également le communiqué du syndicat CGT de Saint-Étienne Métropole.
AC







