L'arrêté de déport vise à "prévenir une situation de conflit d'intérêts potentiels dans la gestion de cette procédure". Concrètement, le maire, Gaël Perdriau, s'engage à se tenir à l'écart de toute action ou information en découlant, comme le demandaient les élus de l'opposition depuis plusieurs semaines.
Le volet financier concerne les prestations fictives facturées à 2 associations culturelles stéphanoises subventionnées par la mairie (France-Lettonie et AGAP) qu'un des protagonistes du chantage, Gilles Rossary-Lenglet, dit avoir touchées pour piéger l'ancien 1er adjoint centriste, Gilles Artigues (aujourd'hui toujours 3e adjoint à la ville de Saint-Etienne).