Une des enquêtes est dirigée contre un Ehpad de Saint-Symphorien-de-Lay qui a attendu 6 mois pour signaler la mort suspecte d'une résidente, rendant impossible la réalisation de l'autopsie nécessaire à élucider l'affaire.
L'autre enquête vise un foyer d'accueil de personnes handicapées de Saint-Marcel-de-Félines où les faits présumés de viol, requalifiés en agression sexuelle, n'ont pas été signalés par l'établissement, jusqu'à ce que la mère de la victime finisse par le faire de son côté.
"Je tiens à dénoncer le traitement scandaleux de ces faits graves, avec autant de désinvolture et de négligence, susceptible de conduire ces établissements ou leurs dirigeants devant le tribunal correctionnel", a déclaré à l'AFP le procureur de Roanne, Abdelkrim Grini.
ZF